La réforme de l’orthographe pour les professionnels de l’immobilier

Dans le cadre de la réforme de l’orthographe, quels sont les impacts pour nous qui rédigeons des annonces immobilières et communiquons en général avec l’usage de ce petit sigle en forme de toit:

accroître les chances de vendre, un acquêt, une alcôve, un âtre, une aumône, un bâti , un bâtiment, bâtir, une bâtisse, le câble, le châssis, le château, une chênaie, le cloître, la clôture, clôturer, le contremaître, la contremaîtresse, coût, coûtant, coûter, coûteux/euse, défraîchi/ie, défraîchir, un dégât, se dépêcher, le dépôt, le dôme, dû, dû/due, l’empâtement, enchaîner les ventes, l’enchâssement, enchâsser, un enchevêtrement, une entrebâillement, entrebâiller, un entrepôt, être, extrêmement, le faîtage, le faîte, la fenêtre, la forêt, une gêne, le gîte, honnêtement, un hôte, un hôtel, une île, un impôt, un intérêt, un mâchicoulis, il vous faut être opiniâtre, le pâturage, peut-être, le plâtre, plutôt, le poêle, le poêlon, la porte-fenêtre, le prêt, un prête-nom, prêter, le prêteur/euse, un pylône, rafraîchir, un rafraîchissement, le râtelier, rebâtir, le rêve, le revêtement, le salpêtre, certains clients sont sans-gêne, la tôle, la voûte.

Tous ces mots devraient donc changer pour devenir orphelins de ce petit signe pourtant si reconflexe…En les listant on se rend compte à quel point ces mots sont nombreux! Et vous vous en voyez d’autres qu’on aurait oublié?

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