Un maison et une appartement, c’est ce que devront dire désormais les français pour parler bien. En effet, après de nombreuses années à genrer l’immobilier il va falloir équilibrer. La maison pour les filles et l’appartement pour les garçons ? C’en est trop ont décidé les responsables de la mission pour un habitat non genré. Une révolution.
Un maison, c’est aussi une façon de sensibiliser aux tâches ménagères
Un maison, c’est un endroit communément accepté comme un lieu de partage des tâches. Pourtant encore à notre époque les femmes sont bien plus concernées par les tâches ménagères. 87% des personnes interrogées avouent qu' »elles ne seraient pas contre un petit coup de main ». En effet, alors que nous sommes dans une ère d’égalité, on ne peut pas nier qu’on a accepté de dire LA vaisselle, LA machine à laver et LA planche à repasser… Et ce ne sont que des exemples. Afin d’inverser les rôles et donner un influx à une génération en quête de repères, le ministère a donc choisi de proposer une loi Express.
Il faudra désormais faire attention
Le ministère compte sur les professions immobilières pour changer la donne. « Ils sont le pont entre nous et les acheteurs et acheteuses » nous souffle un chargé de projet. « Ils peuvent faire passer le message sans que cela ne soit mal perçu par les uns ou les autres. Nous devons faire bouger les lignes ». On sent toutefois dans cet aveu une volonté de ne pas trop heurter. « On pourra en contrepartie dire UNE appartement, histoire de ne pas trop pénaliser les étudiants qui vont passer leur bac cette année et qui risquent de perdre de précieux points lors des épreuves de rédaction ». Toutefois il est précisé qu’un conseiller immobilier qui ferait une erreur dans une annonce pourrait écoper d’une amende de 150 euros.
Un décision pas pris au léger
Avant de proposer cette Loi, une longue étude à été menée dans plusieurs régions. L’État a dépensé sans compter pour avoir la certitude que ce changement sera positif pour la Société française. « C’est un pari sur l’avenir » nous dit-on. Il faudra que nos enfants sachent à quel monde ils ont échappé grâce à ce changement majeur dans notre forme de parler de l’Habitat. En effet, il semblerait que ce changement soit une initiative qui en appellera d’autres en cas de succès. Désormais le gouvernement songe à renommer le poisson d’avril pour une meilleure équité. Dès 2026 il pourrait donc y avoir une poissonne d’avril. Encore un changement primordial et décisif pour un monde plus juste !