Prêt immobilier : emprunter mais pas n’importe comment

Prêt immobilier

Un Prêt immobilier est un acte fondateur, il va permettre bien souvent de boucler un projet d’achat. On oublie trop souvent les bonnes pratiques dans le cadre de ce contrat long terme que l’on signe avec sa banque.

Prêt immobilier : un passage obligé ou presque.

Le principe d’un prêt immobilier est simple : l’emprunteur rembourse chaque mois son crédit sur une durée fixée préalablement. L’établissement de crédit fait payer des intérêts définis qui lui assurent une rentabilité. Le coût total du crédit ce sont l’ensemble des mensualités, auxquelles on retire le montant du capital emprunté. On devra y ajouter les frais d’assurance, les frais de dossier et les diverses garanties. En général on s’assure que les mensualités ne soient pas plus élevées qu’un tiers des revenus de l’emprunteur. Que ce soit un couple ou un individu seul il faudra justifier de revenus suffisant pour subvenir ensuite à ses besoins essentiels.

Prêt immobilier, une étude approfondie

Dans un marché immobilier qui évolue en permanence, il est important de réagir vite. Votre conseiller immobilier peut vous informer de ce qu’il est possible de faire. Il peut aussi vous orienter vers un courtier avec lequel il travaille. Car en effet, les taux bancaires sont négociables. Il ne s’agit pas d’accepter le premier taux venu, la première proposition. Votre banque est généralement assez mal placée. Il n’est pas rare de voir des acquéreurs changer de banque au moment de négocier leur prêt immobilier. C’est une aberration du système bancaire qui préfère séduire de potentiels clients plutôt que de conserver les siens.

Clause suspensive de prêt

Dans le cadre d’un compromis, on peut noter en condition suspensive l’obtention du prêt. La vente ne pourra se conclure que si le futur propriétaire réussi à obtenir de sa banque un emprunt. C’est bien souvent une période courte qui permettra à un acquéreur de récupérer un accord écrit de l’organisme bancaire qui va le suivre dans son projet. Ces dernières années, les banques refusaient peu de dossier. La condition principale étant un calcul rapide du taux d’endettement, les clients parvenaient en général à leurs fins.

Avec la situation sanitaire et la pandémie on a pu craindre une dégradation de ces conditions idéales pour le marché. Mais il n’en est rien. Si la personne ou le couple gagne suffisamment pour assurer les remboursements, alors elle pourra finaliser son acquisition sereinement.