Ça y est on est en 2022. Après une période de fêtes marquée par le variant Omicron, l’heure est à la rentrée des classes. Avec son élection prévue en mai, 2022 est une année qui peut inquiéter à prime abord. Mais il y a aussi des raisons d’espérer une année immobilière très active.
On habite moins longtemps un logement
En 2022 nous sommes des personnes modernes. On en reparlera en 2023, mais pour l’instant les plus évolués de l’humanité c’est nous! C’est effectivement discutable. Toujours est il qu’en matière d’habitation les usages actuels tendent à voir les déménagements se multiplier. La mobilité, c’est un fait, est bien plus facile qu’auparavant. Les moyens de transport sont plus confortables, plus fiables, plus sûrs. Internet a créé ce que l’on appelle dès digital nomads. Des gens capables de travailler depuis n’importe où dans le monde. Et le télétravail post COVID accentue encore cette évolution. L’habitat est logiquement impacté.
En 2022 Les taux restent attractifs
Les envies de changement ont fortement porté les ventes de biens immobilier à des niveaux inédits en 2021. Les prix ont suivi la même dynamique. Paris reste une exception, les prix y ont légèrement baissé sur un an. Mais les taux restent attractifs. Les taux bas sont les principaux accélérateurs du marché, et devraient peu varier. De légères hausses ne sont pas à exclure, mais les crédits resteraient en tous les cas attractifs.
Cela donne confiance aux acquéreurs qui enclenchent leur projet, souvent bien conseillés par des professionnels de l’immobilier. Il est toujours très utile de se faire conseiller, que ce soit par un agent ou un mandataire en immobilier ou bien par un courtier.
Les zones logeables évoluent
Autre état de fait, on peut habiter plus facilement dans des banlieues éloignées ou bien carrément en campagne. Encore faut-il s’adapter au mode de vie rural. Mais alors que seuls certains coins étaient plébiscités il y a encore quelques années la proposition s’élargit depuis. On a plus facilement l’option de construire sa maison. Alors qu’avant une maison cela signifiait un coût faramineux ou bien une maison « cage à lapin » pour citer Coluche. Aujourd’hui on peut aisément faire appel à un architecte et produire un projet proche de son besoin. C’est une tendance qui devrait se démocratiser dans une période où l’on revient du vertical pour privilégier l’occupation du foncier. Des secteurs plus larges et une offre plus importante voilà des indicateurs qui devraient favoriser le déploiement du marché immobilier dans les prochaines années.