Le patrimoine est devenu un sujet clé dans le cadre de la campagne présidentielle de 2022. C’est un sujet qui cristallise beaucoup d’interrogations, mais aussi de fantasmes.
La campagne présidentielle, le moment de folie
La campagne présidentielle, est un moment de folie où les propositions des candidats fusent. On le sait, les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. Néanmoins il est intéressant de voir que la question de la transmission est abordée à quelques mois de l’échéance par chaque candidat. Il est difficile d’imaginer que la donne change du jour au lendemain, mais certaines tendances se dégagent. En effet, on pense souvent que la transmission de patrimoine ne concerne que les grosses fortunes. Chacun est pourtant impacté, surtout quand on possède ou souhaite posséder de l’immobilier.
La hausse des prix partout en France a pu générer des fortes variations de patrimoine. Et le fait est que cette hausse n’est pas anodine pour certaines personnes qui n’ont pas forcément anticipé une transmission plus importante qu’ils ne le pensaient.
L’immobilier le Patrimoine favori des français
On est toujours surpris de le dire, mais c’est un fait avéré. L’immobilier est bien le premier rêve des français. Alors ça ne veut pas dire grand chose, mais on peut tout de même en déduire que la Pierre rassure dans un pays aussi protégé que le nôtre. Votre conseiller immobilier est habitué à accompagner des situations complexes, à aider à les dénouer. Pensez à en parler avec lui, il vous expliquera comment valoriser au mieux votre patrimoine, comment le définir, puis le transmettre. Au besoin un notaire pourra également vous aider à comprendre les mécanismes de cette procédure parfois complexe.
Une année 2022 qui va détonner
Dans un contexte incroyable et lors de son quinquennat, le président de la République aura connu des crises majeures. Les gilets jaunes tout d’abord puis le COVID. Il a néanmoins, sauf surprise, l’intention de se représenter. Sans faire de politique, on pourrait penser que la France a avant tout besoin de stabilité. On verra le choix qui sortira des urnes, mais des changements brusques de cap ne sont pas forcément la bonne solution. On sait également qu’un président élu n’a pas les pleins pouvoirs. Il lui faudra faire accepter ses promesses de campagnes comme des solutions pertinentes. Ce qui fait que bien souvent c’est le statu quo.